Nous apprivoisons l’argile en la touchant, en la malaxant et en lui donnant forme. En contactant directement l’argile sans intermédiaire, nous la façonnons et laissons notre empreinte.
Le premier contact se fait souvent les yeux fermés et permet d’être au plus près de la sensation, à l’abri de son propre regard et de celui des autres. Ensuite, les yeux ouverts, nous sommes plus dans la réflexion, la mise en relief et la reproduction du connu.